Un voyage évolutif de la première cellule aux premiers Saguenéens
Description
L’idée que toutes les espèces vivantes ont un ancêtre commun qui date d’il n’y a pas si longtemps (à peine deux milliards d’années!) a longtemps été considérée comme farfelue. Pourtant, aujourd’hui, on en connaît beaucoup plus sur l’évolution des espèces vivantes.
Ce cours s’adresse à tous ceux qui s’intéressent à l’une des deux questions suivantes : d’où vient-on et où allons-nous? Il nous permettra de découvrir ensemble le trajet que la vie a pris pour en arriver à une espèce bien étrange, Homo sapiens, les humains modernes. Ce cours sera divisé en cinq grandes thématiques qui nous mèneront de la première cellule aux premiers habitants du Saguenay-Lac-Saint-Jean.
1 et 8 décembre 2025 | 13 h à 16 h
L’évolution de l’évolution
- Introduction
- Concepts de base
- Historique de la théorie de l’évolution
La sélection naturelle ; un concept qui change tout!
- Charles Darwin et l’origine des espèces
- La théorie « synthétique » de l’évolution
- Un peu de phylogénie entre amis
De la première cellule à la dernière
- Origine des premières cellules
- Les transitions majeures
- Les extinctions
D’où viennent les comportements sociaux
- Émergence de la reproduction sexuée
- L’arrivée des sociétés
- La coévolution des espèces
Homo Sapiens ; de l’Afrique au Saguenay
- L’histoire de l’humain
- Homo sapiens et la médecine
- Le Saguenay-Lac-St-Jean ; un laboratoire vivant pour l’étude des populations
- Les personnes âgées de 50 ans et plus
- Les membres de l’Association des universitaires du troisième âge

Simon Girard
Simon Girard est un chercheur en génétique des maladies du cerveau. Il est titulaire d’un baccalauréat en bio-informatique de l’Université Laval et a ensuite obtenu une maîtrise en sciences neurologiques à l’Université de Montréal ainsi qu’un doctorat en biologie moléculaire dans cette même université. Son laboratoire de recherche vise à mieux comprendre plusieurs maladies du cerveau, notamment l’épilepsie, la schizophrénie et le trouble bipolaire. Pour se faire, il utilise l’informatique afin de traiter un très grand nombre de données génétiques.